Je suis connue pour mes siestes et mes nuits profondes que rien ni personne ne peuvent perturber. Mais manifestement à Arreau, dans les Hautes-Pyrénées, il y a sur les coups de 21 heures, tous les soirs et plus particulièrement en octobre, un cri lugubre et lancinant, répété plusieurs fois qui m’a glacé le sang et m’a fait sortir de ma profonde léthargie.